Avis des lecteurs : Au Pays des Maléfices

-J’ai lu ton livre en une seule journée et presque d’une traite, c’est si bien ficelé, tu es une vraie conteuse, comme ta narratrice, et on reste suspendu à tes pages jusqu’au formidable retournement final! Le va-et-vient entre Philippe et Lisa dynamise bien le récit, on pourrait en faire une pièce de théâtre, avec deux comédiens et projection par exemple d’images de la Guyane… J’ai été touchée aussi par tes remarques sur la génétique familiale qu’on porte en soi, à l’insu de soi-même, et je t’aurais bien piqué deux ou trois formules comme celle sur l’amour et le compte en banque! Comme tu m’as dit que c’était pour partie en tout cas la vraie histoire de ta soeur, je suis abasourdie par ce destin et ta description apocalyptique de la Guyane tant sur le plan politique qu’écologique… Merci pour cette lecture qui a si profondément accompagné ma journée, bien amicalement. Nadine

-j’ai lu les 2/3 du livre ….. et j’en reste sans voix tant j’en suis émue …… voilà. Tu as écrit là ce qui dépasse TOUT !!!!!!!!! Ton écriture me plaît infiniment …. le contenu me bouleverse infiniment …. Béatrice

-Je referme Au pays des maléfices que j’ai lu d’une traite. Superbe!
C’est poignant, palpitant, émouvant. Une réussite d’écriture et pour vous je pense un exutoire..La « famille » l’a déjà lu et réagi? Un ouvrage qui mérite une adaptation au cinéma ou un téléfilm ! Bravo et merci. Anne-Marie

-Merci pour cette conversation. Je suis très ému de savoir que vous avez écrit sur toute cette histoire bouleversante. J’attends votre livre avec impatience. N’hésitez pas à me téléphoner si vous passez à Paris. Cela me fera très plaisir de vous rencontrer. L’idée du livre à écrire me séduit beaucoup… et aussi du film à réaliser.… On en parle… Pour le livre j’avais un éditeur qui était intéressé en France, c’était Glenna, ils font des livres de voyage avec pas mal de photos et j’en ai un gros stock totalement inédites… et beaucoup d’histoire racontée à partir de ça…. en Guyane et ailleurs… En vous souhaitant un très bon dimanche. Philippe Lafaix journaliste-cinéaste

-Ma très chère Emilie, j’ai fini Le livre et l’ai …. recommencé, car je l’ai DÉVORÉ à la première lecture et cette fois le relis tranquillement … J’imagine que l’émotion partagée avec ta nièce DÉPASSE ce que je peux … imaginer . Béatrice

-J’ai dévoré Le pays des maléfices. Tu as su raconter le vrai tout en jouant ton rôle de romancière. Je m’interroge sur certains détails peut-être imaginaires, peut-être réels. On en discutera si tu le veux bien. Serèn

-Emu, bouleversé par la lecture de votre biographie. Habitué à lire vos romans et autres nouvelles, voici un style pur, dénué d’artifice et si émouvant. J’avais l’impression d’être assis face à vous et que vous me contiez le récit de vie de votre sœur. Arrivé à la fin du livre, j’avais l’impression de l’avoir connue. Merci et bravo! Christophe

-Quel destin! Moi qui ai tendance à me plaindre, en lisant Au pays des Maléfices, j’ai pris conscience que ma vie était belle et franchement acceptable en comparaison du destin de votre sœur Marie. Et je me demande, comment avez-vous fait, vous, Emilie, pour survivre à tous ces malheurs? Où trouvez-vous la force de rire et d’être une personne si agréable à fréquenter? Vous avez en vous une force extraordinaire, vous êtes pour moi, l’exemple personnifié de résilience. Merci d’avoir accepté de nous confier vos souvenirs, votre vécu d’une manière si naturelle. Adrien

-Fabuleux! Vous m’avez emmenée au pays de vos douloureux souvenirs, Emilie, j’ai lu, j’ai dévoré ce livre comme si vous me faisiez des confidences. Très bien écrit. Poignant. Terrible, aussi. Je vous avoue avoir versé des larmes en lisant certains passages. Merci, Emilie, pour votre témoignage. Il faut abolir tous les tabous qui empoisonnent bien des vies. Eléonore

-Quel bonheur et quelle émotion de lire, de manière romancée, ce que tu m’a conté tant de fois. Bravo d’être ce que tu es malgré toutes ces casseroles que tu traines derrière toi. Une grosse pensée pour ta nièce/ma petite-cousine dont tu racontes l’histoire de sa maman. Michel