-J’ai commencé dans le train le tome 2, puis dévoré l’opus 3 et je suis effarée en découvrant ce par quoi tu es passée… Affectueusement. Serèn
-Chère Emilie, Ce récit m’a beaucoup émue, j’ai souvent pleuré et découvert avec effroi cette dramatique relation avec ton père. C’est épouvantable. Faire partie d’une grande fratrie et d’une famille avec d’innombrable cousins, tantes, oncles et cie ne rend pas heureux. Georges a aussi été balloté entre Roumanie, Turquie et Israël mais fils unique et avec de rares cousins aux USA, ses oncles et tantes ayant disparu dans les camps… Ma mère, de père inconnu a été abandonnée par sa mère et du côté de mon père, j’ai 9 cousins adorables. Donc je ne me rends pas compte… Grande famille, grands soucis… Et que de deuils terribles, d’abandons successifs. Je comprends mieux ce que tu as subi avec le départ de JP cœur… J’admire ton combat et cette volonté de réunir ceux en qui tu as encore confiance. L’écriture est un extraordinaire exutoire… J’imagine que cette trilogie pourrait avoir un succès digne de « l’Amie prodigieuse »… As-tu des retours de tes proches qui savaient et qui n’ont pas voulu voir ou de ceux à qui tu as ouvert les yeux? PS: si je vais à Saint Aygulf, je ne t’enverrai pas de photo! Amitié sincère. A-Marie
-Hello! Emilie, j’ai oublié de te dire combien je me sens en accord avec ta vision des autres. J’aime les personnes directes, vraies, authentiques. …et si en plus, si elles manient bien le verbe, c’est cadeau. ça ne court pas les rues, mais j’ai trouvé une perle habitant près de chez moi. Quel bonheur de rester rebelle , c’est ta force de vie. Je le suis aussi un peu et je crois que je vais le rester.
Au plaisir de te revoir, de te lire encore et encore. Pour l’instant, je t’avoue que je n’ai pas réussi à lire la suite de ta bio. Je pleure tout le temps en te lisant. J’attends que l’émotion passe. Sylvie
-Ouf! J’arrive au bout des 3 Opus… un vrai thriller! Incroyable! Cette biographie devrait être diffusée à grande échelle. Quel tempérament de battante! Vous paraissez si fragile, si sereine, toujours avec le sourire… comment faites-vous? Vous avez appliqué la résilience, bien avant que l’on parle de ce mot, cette définition, comme on disait ma grand-mère « faire bon cœur, à mauvaise fortune ». Pas facile tout de même. Je vous admire, chère Emilie! Adeline